Oui, je sais, ça manque cruellement d'originalité. Et après.
Un Noël en famille, y'a rien de plus banal.
Encore que ça dépend pour qui.
Et puis faudrait voir à pas confondre banal et fade.
Banal is cool.
"Candy,
Jean-Luc has made contact. It is quiet here in the U.S. States! If the
French side is quiet, the Walloon Gangshould be ready to attack
Belgium!!!
Godspeed
Etienne"
Et comment dire ? Je jubile. Parce que c'est drôle et parce
que là où Sid Vicious est mort, et bien moi, j'étais Candy et
en compagnie de Jean-Luc, et d'Etienne, le pirate indien,
nous avons inventé le terrorisme wallon.
Enfin samedi, alors que contre tous mes principes, je
sortais de chez Ikea (encore un coup de Gazoline, on
s'en sera douté), un poney rose nous attendait,
caracolant sur le rebord d'un caddie.
Avec tout ça, vous ne pouvez décemment pas nier
que je suis bénie des dieux, de satan, de Sainte
Rosalie et que l'esprit scintillant de Dalida plane
au-dessus de moi et me protègera de tous les cacas
de pigeon, quelque soient les circonstances, non ?
"L'expression ''Marché aux Puces'' date vraisemblablement de la fin du 19ème siècle. A l'origine c'est une expression péjorative. (cf le proverbe : ''Qui se couche avec les chiens se lève avec les puces''). Bref, l'idée de puces, de vermines, accompagne généralement celle de linge, de vieux vêtements, de hardes vendus par des chiffonniers que l'on soupçonne d'être porteurs de parasites en tous genres. Il semblerait donc qu'un Parisien ait un jour eu l'idée de lancer l'expression Marché aux Puces pour désigner cet endroit où l'on peut acheter des objets ayant déja servi. L’histoire des Puces remonte à plusieurs siècles. Elle se confond avec celle des chiffonniers, ce peuple de l’ombre installé aux portes de la ville, au pied des « fortifs ». Appelés « biffins », « chiftires », « crocheteurs » ou plus poétiquement « pêcheurs de lune », les chiffonniers parcouraient la ville la nuit à la recherche de vieux objets jetés aux ordures qu’ils revendaient ensuite sur les marchés. Souvent associés aux habitants des « cours des miracles »,les chiffonniers sont chassés de Paris par de nouveaux édiles à la fin du XIXème siècle. Ils passent alors par petits groupes de l’autre côté des fortifs et s’installent près des portes de Montreuil, de Vanves, du Kremlin Bicêtre et de Clignancourt. Peu à peu, certains «crocheteurs » plus astucieux que les autres deviennent brocanteurs à leur compte. Ceux qu’on appelle déjà les « puciers » décident de s’associer. Bientôt, les parisiens viennent découvrir des étalages d’objets hétéroclites disposés à même le sol au delà de la barrière de Clignancourt. De fil en aiguille, le nombre des curieux augmente, celui des marchands aussi. Une mode est lancée attirant, parmi la foule chapeautée du dimanche, des mondains collectionneurs en guêtres immaculées qui viennent chiner autour des étalages de bric-à-brac. Le marché aux Puces est né…"
Tout ceci est tiré de divers sites internet que je ne citerai pas, que le Pape du Copyright m'excommunie immédiatement ou que le Dieu du Fake me transforme en statue de cassonade.
Mon Dieu ! Pourvu qu'il ne m'ait pas jeté un sort ! Comme celui qu'il a jeté sur quasiment tous les habitants de Here-The-Pussies : il pourrait leur chier sur la tête qu'ils iraient encore voter pour lui. Si c'est pas de la manipulation vaudou ça ou alors j'y connais rien en politique...
Sinon il fallait que je vous parle de TrueBeer. C'est une idée de concept de série génial que j'ai eu. J'en ai beaucoup et il m'a paru soudain évident qu'il fallait que j'en parle dans le blog cool. Bref. Je sais pas si vous connaissez TrueBlood, sûrement mais je vais résumer quand même. C'est donc une série qui raconte la vie dans un bled de Louisiane à une époque actuelle où les japonais ont inventé un sang artificiel qui permet aux vampires de s'alimenter sans tuer personne. J'en dirai pas plus sur cette série (à part que le générique est vraiment trop classe mais j'ai horreur de me répéter).
Bref, mon esprit brillant, entre 2 activités utiles (lire des blogs et dormir)(autant dire quand je suis dans le métro et on aura compris quelle vie palpitante est sur le point de s'achever... DEMAIN !!!) a conçu une parodie absolument délirante de ce concept : TrueBeer. Imaginez que les grecs inventent une bière qui rend pas con au bout de 6 pintes. ça permettrait à tous les alcooliques de pouvoir vivre à nouveau de jour avec tous les autres êtres humains (il y en a ?). Mais bien sûr certains auront la nostalgie de la bière d'antan, celle qui donnait envie de parler sans s'arrêter de plus en plus fort pour répéter inlassablement une idée qu'on trouve trop forte ("le temps passse", "I am what I am", "toute la musique que j'aime", "le sida c'est vraiment pas sympa", etc...), et continuerait donc à en consommer en toute illégalité le soir dans des bars à gogo danceuses (oui, car je n'invente que des séries américaines). Bref, forcément, ça créerait des conflits, des crimes et des enquêtes, surtout quand une fille alcoolique non-repentante tomberait amoureuse d'un sage buveur de TrueBeer, qui lui même serait totalement sous le charme de l'haleine fétide du matin de sa nouvelle dulcinée. Bien entendu, la société réprouverait cette alliance contre-nature et poserait des tas de problème au dit-couple. Surtout Horace, le buveur d'Ice Tea qui était secrètement amoureux de la douce alcoolique depuis son retour d'Irak.
Je vous en dis pas plus mais avouez que vous mourrez d'envie de savoir la suite, pas vrai ?
(...)
PAS VRAI ?
Autant vous dire que j'ai jamais autant rigolé au boulot (on se serait cru dans un blog cool)
(...)
Et je me fous que ça vous fasse pas rire. Parce que dans 2 jours...
J'AURAI PLUS AUCUNE HISTOIRE DE BOULOT A VOUS RACONTER !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! (-rires sardoniques-)
Et j'essaierai de vous parler de True Beer demain.