mardi 6 juillet 2010

Dans le regard d'un chat.

La situation est grave. Si grave qu'elle mérite 2 posts dans la même journée.

Nous citerons maintenant Apollinaire, Guillaume Apollinaire, dit Apollinaire ou encore Apollinaire.

On va quand même essayer de rester cool, Apollinaire n'était en effet pas le dernier à la déconne. J'en veux pour preuve cette lettre d'insulte des cosaques zaporogues au sultan de constantinople :

Poisson pourri de Salonique
Long collier des sommeils affreux
D'yeux arrachés à coup de pique
Ta mère fit un pet foireux
Et tu naquis de sa colique (on vous avait prévenu : faut pas faire chier les cosaques)

Bourreau de Podolie Amant
Des plaies des ulcères des croûtes
Groin de cochon cul de jument
Tes richesses garde-les toutes
Pour payer tes médicaments.

Depuis, le Sultan est humiliation et camembert mou.

Ah, et je ne sais plus si je vous l'ai dit, mais c'est Apollinaire qui écrit de si belles lettres d'insulte, Guillaume Apollinaire.

(Flo. P. , je te survivrai dans les cages d'escalier, et oui s'il le faut je continuerai à citer Jean-Pierre François pour t'annihilier à tout jamais. -rires sardoniques-)

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