Alors voilà. Le Pôle Emploi m'a tuer. J'agonise en me raccrochant à l'infime espoir du rendez vous du 11 octobre, comme une lumière au bout du tunnel, ou comme le goudron et les plumes avant le retour d'où je viens après tout qu'est ce que t'as cru.
Le monde se divise en 2 parties : ceux qui ont l'ombrelle et ceux qui marchent.
Moi, je marche.
En priant pour que mon pire ennemi veille bien sur moi.
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