He brings my life back but
He’s here mon corps s’évapore
I feel sad empty sweet as a sea
With a crépuscule light on me
His lips on my heart
But no body for me
And Chopin in my eyes when his eyes on me
And his hands bossa nova my water body
So he brings my life back
Again on his man back
Par terre à genoux
My hands tendues jusqu’au bout
How such a storm could bring so much please
How the sea could be the same fury and peace
My sad empty sweet as a sea life without you or me
Just a kiss and shine at least
Ta main sur mon sein to light enfin
My hope and a smile sur his joue demain
Juste des pivoines dans mon jardin
And summer rain sur nos destins
My body dance to him no fight just beautiful light such a storm and how sweet is the sea and my tears how far are my fears and maybe tomorrow no bonheur no chagrin juste maybe tomorrow hope un pirate ou un marin une histoire sans fin se racontait tous les matins ou juste peut-être demain my waterbody qui flotte dans les hauteurs mon cœur s’écoule dans les profondeurs à l’heure des crépuscule qui éclosent tes douleurs in my body water qui vogue au pays des marins de demain et d’une histoire sans fin
Elle s’était perdue au pays échoué des pirates de demain
Parce qu’elle ne voulait plus tenir la main
Parce qu’elle a traversé sans regarder
Elle s’est envolée dans un ciel marin et elle ne voulait plus rentrer
Juste voguer dans le pays de demain celui des jours sans fin
Et s’étendre le long des nuits humides et blanches
Au royaume des tendres oublis aux odeurs d’infini
Le parfum d’une vie perdue dans les sous-sols d’une guerre dans un parking sous terre sous les fers des corps à travers les trous on voyait aussi de l’or qui s’en écoulait les jours d’été
Parfois une main jaillissait du fond de la terre et ravivait le souvenir des enfers la caresse des cutters quand aux travers des fers des corps le rubis s’écoulait une sève d’été
Au pays échoué des marins de demain on attend la marée qui va qui vient c’est une histoire sans fin l’ennui des nuits sans couleur des lumières sans chaleur il lui fallait à nouveau s’évader
La voilà revenue dans les contrées menaçantes, les jungles luxuriantes, les foules dansantes, où l’or et le rubis la transpercent où la mort vous berce où la vie se commerce
Et quand elle croise un marin qui revient de loin ils se racontent la mer et les bateaux qui attendent la marée pour partir demain vers le pays des histoires sans fin
1 commentaire:
C chanmé !
Bises de la bonané.
Cyril.
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