On a les madeleines qu'on mérite.
Bon sinon aujourd'hui, j'ai enfin réussi à écrire correctement le passage de mon roman (nèze-bas ?) qui présente l'énigme vertébrale de toute l'histoire, autant dire quelque chose d'important. Trois ans que je me cognais sur ce putain de passage, trois ans que je jette systématiquement le truc. Et pourtant, si je l'explique pas ce truc, comment savoir après quoi courent les personnages ? Comment comprendre pourquoi ils se parlent sur ce ton ? Comment garder le lecteur avec moi jusqu'à la fin du roman, jusqu'à la mort dans d'atroces souffrances du personnage principal, tué par le personnage secondaire, à la suite d'une spectaculaire trahison ????? Heureusement, grâce à ce que j'ai écris ce matin, j'ai enfin l'assurance d'avoir insufflé un suspens redoutablement efficace à cette histoire. Lecteurs fictifs, je vous tiendrai en haleine jusqu'à ce que vous me suppliez de lâcher prise ! (rires sardoniques)(ça faisait longtemps que je n'avais pas ricaner diaboliquement)(ça fait du bien).
Sinon le chômage et les impôts me rendent de plus en plus vénale (mais c'est le prix à payer pour atteindre le climax de ma vernalité)(j'ai sorti mon dictionnaire hier)(le blog cool est par conséquent en voie de devenir une revue de recherche scientifique). Je vais vendre mon sang.
2 commentaires:
et la vente d'ovocytes? d'organes??
Et la location d'utérus ?????
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